L’externalisation continuent à faire l’objet de débats et de doutes… La fonction achat monte en puissance et s’implique de plus en plus dans les projets mais voilà qu’on parle d’externaliser la fonction elle-même !
La fonction achat est de plus en plus impliquée dans les projets d’externalisation – surtout lors de la consultation. Elle l’est moins sur les analyses stratégiques de « Make or Buy » – pourtant c’est bien le rôle de l’acheteur de chercher des solutions innovantes su le marché fournisseurs.
- un processus « order to pay » unique et plus fluide
- des statistiques utilisables sur la facturation par famille d’achat
- des balances fournisseurs à J+2
- …
est effectivement considérée comme révolutionnaire… et surtout en France.
- dans la plupart des sociétés, l’expertise achat est concentrée dans les catégories d’achat les plus stratégiques, la véritable couverture plafonne à 75%
- la visibilité sur les dépenses de frais généraux reste floue pour la plupart des entreprises : environ 1/4 des achats sont hors contrat (« achats maverick »)
- peu d’entreprises ont standardisé les processus d’achat et d’approvisionnement, ils demeurent manuels et locaux
- les achats et l’approvisionnement manifestent un déficit dans l’utilisation d’outils d’automatisation et d’analyse.
Ces facteurs suggèrent qu’il y a encore de beaux progrès à faire. Mais comment s’y prendre ? Quel est le moyen le plus efficace d’exploiter ces gains latents ? Quels investissements faire ?
- faire (encore) appel aux cabinets de conseil en stratégie ?
- augmenter les ressources (en interne) ?
- adopter les nouveaux outils d’e-sourcing et e-procurement ?
Et si l’externalisation était la meilleure option ?